Odiora au fil du temps
Odiora parrainée par la Fondation Emergences
Nathalie Birault Lauréate de la Fondation Banque Populaire
Incubation de Odiora chez Ronalpia Incubateur d’entreprises sociales et solidaires
Le début de l’entreprenariat, naissance de Odiora
Nathalie pense aux autres petites filles et femmes qui, comme elle, passent par le chemin, de l’acceptation du handicap par soi et par les autres. C’est avec cette belle ambition qu’elle se lance dans la grande aventure de l’entreprenariat.
Avec l’aide de bijoutiers créateurs elle conçoit et perfectionnise son concept et ses modèles dans son atelier lyonnais. Soutenue par des sociétés et associations sensibles au handicap et à l’entreprenariat féminin comme : Créa Plus, CIDFF et Ronalpia son projet avance et se concrétise par son lancement en mars 2016.
Nouvelle motivation
En 2014 Nathalie perd de plus belle son audition, les appareils se font de plus en plus gros.
Alors elle combine sa perception du monde et sa passion pour le voyage notamment à Tahiti, pour créer ses premiers bijoux pour appareils auditifs.
Elle travaille sur ses propres modèles pour accepter son handicap et aussi pour pouvoir se faire comprendre par son entourage.
L’expression
La découverte
A l’origine de ce projet : Une petite fille coquette et assez réservée Nathalie Birault.
A ses 12 ans, son ORL découvre brutalement une surdité dite « sévère », pour laquelle les appareils « contour d’oreille » sont nécessaires. En pleine adolescence, difficile pour elle d’accepter les prothèses aux coques marron …
Nathalie se répète souvent : « Je rêve de mettre aussi facilement mes appareils auditifs qu’une paire de lunettes »
Alors pour accepter son handicap elle embête son audioprothésiste régulièrement pour customiser ses appareils en faisant des demandes de coques transparentes roses etc…